[59] De cueillette à culture
Publié : 25 Mai 2011 22:17Vivant dans une zone historiquement balafrée par l'hyper-urbanisme et l'industrie qu'elle soit lourde, qu'elle soit agricole, je n'en suis pas moins passionné de sorties "Vie sauvage"- genre de randonnée "extrême" avec un minimum de matériel et un maximum de compétence/expérience, aux limites de la survie, mais bien plus proche de la vie de nos ancêtres- et de ce qui est le Jardin qui nous a abrité.
Avec un petit groupe de personnes, je travaille la mutualisation des énergies et pour limiter notre impact et pour limiter le gaspillage des forces, en partageant les charges de travail. Nous ne vivons pas sous le même toit, ni en communauté, il s'agit juste d'une organisation du travail. Cette œuvre vient de commencer il y a quelques mois et ne demande qu'à mûrir.
Je cultive un potager, plutôt en mode sauvage, évitant un maximum d'interférer dans l'équilibre qui s'installe et en laissant toute sa place à ce qu'on appelle vulgairement "la bio-diversité". Mes semences proviennent de KOKOPELLI. Ma formation initiale en multiplication des semences et des plants devraient me permettre de devenir rapidement autonome, avec un objectif de mise en place d'une banque de semences, dans le genre de NARDANIA... à échelle de la communauté locale. Mon potager vient, en fait, en complément de la production d'une AMAP dont je suis adhérent et en complément des autres jardins mutualisés. Je n'ai pas d'objectif de rendement et, donc, me permet de laisser la place à des légumes oubliés. C'est ainsi que je laisse la place aux orties, au sisymbre, à la Bardane,... plantes que j'ai suffisamment croisées lors de mes courses en milieu sauvage et qui ont repris la place qui leur est dû dans mon assiette.
Les travaux de cette année :
MvM
Avec un petit groupe de personnes, je travaille la mutualisation des énergies et pour limiter notre impact et pour limiter le gaspillage des forces, en partageant les charges de travail. Nous ne vivons pas sous le même toit, ni en communauté, il s'agit juste d'une organisation du travail. Cette œuvre vient de commencer il y a quelques mois et ne demande qu'à mûrir.
Je cultive un potager, plutôt en mode sauvage, évitant un maximum d'interférer dans l'équilibre qui s'installe et en laissant toute sa place à ce qu'on appelle vulgairement "la bio-diversité". Mes semences proviennent de KOKOPELLI. Ma formation initiale en multiplication des semences et des plants devraient me permettre de devenir rapidement autonome, avec un objectif de mise en place d'une banque de semences, dans le genre de NARDANIA... à échelle de la communauté locale. Mon potager vient, en fait, en complément de la production d'une AMAP dont je suis adhérent et en complément des autres jardins mutualisés. Je n'ai pas d'objectif de rendement et, donc, me permet de laisser la place à des légumes oubliés. C'est ainsi que je laisse la place aux orties, au sisymbre, à la Bardane,... plantes que j'ai suffisamment croisées lors de mes courses en milieu sauvage et qui ont repris la place qui leur est dû dans mon assiette.
Les travaux de cette année :
- Amélioration de la récupération et du stockage de l'eau.
- Reconfiguration du potager avec intégration du BRF et la plantation d'arbres.
- Travail sur la génération de biogas.
- Travail sur la mutualisation du compostage, méthode Jean Pain
MvM