par autrevie3 » 13 Mai 2012 09:37
c'est osé,et j'aime bien que moilamain ose le faire,nous sommes tous à 4 pattes pour ce petit jardin de la fraternité.
il a fait au mieux en fonction du milieu....si tu force les arbres à être nains ca permet d'en concentrer plus,ca va pas plus loin,bon il aurait pus implanter plus de variétés naines plutot que de prendre des variétés normale greffés sur des nainissant (m9 pajam's m106),mais les variétés naines sont tres peu nombreuses,et ca manque donc cruellement d'échelonnement de la production.
il vaux parfois mieux planter 10 pommier souffreteux qui donnerons 10 à 20 pommes par arbres que 2 géant qui produiront beaucoup d'une seul variété (sans parler du risque d'alternance (fruits qui ne viennent pas chaque année)),il gère bien tout son bois de taille,le taux de vers est excellent...
difficile de parler à sa place des interactions entre les différent milieux,premièrement nous ne connaissons pas ses buts,ne sommes pas resté une année pour vérifié si l'emplacement de choses sont judicieusement placés par rapport aux conditions du biotopes,etc...
pour moi,vus le travaille,la passion,la recherche,il peux appeler cela de la Permaculture,je n'y vois aucun inconvénient.
pareille pour une ferme haute densité ou toute structure d'élevage ou culture est potentiellement artificiel,ca reste (pour moi) de la Permaculture vus qu'il y a une très haut niveaux de recherche,fiabilité dans la production,absence de traitement ou d'engrais chimiques,haute concentration lié au manque d'espace,tres grosse interactions entre les différents modules de production.
moi,ce qui me turlupine,c'est sa théorie sur le chancre,le laisser faire des sports partout agirait comme "antibiotique" préventif...tel un vaccin...la présence du chancre partout génèrerait une résistance au chancre naturelle sur les arbres non infectés (mais presque toutes ces rosacés sont touchés)...
bref...je reste tres septique,mais pas fermé sur sa théorie.
Patrice de greffer.net et d'autres sont également fort sceptiques sur cette théorie.
pour répondre à la question précise...ont peux difficilement dire ce qui est permaculturelle ou pas car c'est tout un sensemble à prendre en compte;car c'est pas une technique qui est permacole mais un ensemble,plus particulièrement parvenir à connaitre le milieu originelle de chaque espèce pour tendre à la placer dans le biotope qui lui correspond au mieux par nature,parvenir à transgresser en jouant sur les différents portes greffes afin de transcender les limites du biotope,parvenir à concentrer les espèces et variétés en prenant en compte les ports et enracinement de chaque essence et variété,et les fameuses tentatives de trouver les allopathies positives inter espèces...pour l'instant nous n'en avons qu'une toute petite poignée (les légumineuses stimulé par les graminés,l'arGousier avec le arbres,l'eleagnus et le noyer,le peuplier et le blé,le douglass+aulne glutineux pour forcer le douglasse à avoir un enracinement moins superficiel...l'emploie de légumineuses à stresser pour doper la croissance des arbres arbustes ou herbacés non légumineuses,certaines essences qui supporterais mieux que d'autres qu'une liane lui grimpe dessus,l'emploie de plantes ettoufante tapissante afin d'endiguer la présence de graminées,ronces et autres plantes mal venu,jouant leurs rôle pré-forestier (fougère genêt ronce et autres pionnier des milieux encore ouvert)
et peux être même que la Pmc c'est ou sera également l'emploie de concentration des principes qui épanouissent la vie (ondes pulsés,magnétismes et ondes de formes),l'emploie de techniques archaïques primitives souveraines autonome style traction animale,accumulateur d'orgone archaïque du style kern,ou antennes qui concentre le tellurisme (base de l'électroculture)...ont peux utiliser de bâches platiques pour éviter d'avoir à mulcher,ont peux utiliser dans un premier temps des déserbant chimique ou meme des engrais chimique en PMC car personne ne le conteste...alors...c'est vaste et ouvert,alors méfions nous de l'orthodoxie,même si c'est tres rassurant de pouvoir affirmer ce qui est ou pas permaculturelle en observant le travaille d'un autre.
de toute façon...comme tu la souligné,il y a tentative de prendre en compte le long terme,le processus évolutif,comme le dis Mollison il faudrait au minimum 3 génération pour "finir" un lieux de PMC en zone tempéré.
si à mouscron les arbres sont tous pratiquement tous greffé sur des portes greffes qui vivent entre 15 et 25 ans,ce n'est,en effet pas inscrire une pérennité,mais d'autres personne peuvent arracher un arbres qui décline sa production pour le remplacer par d'autre...planter sur du franc,necessite d'attendre plus longtemps les récoltes...
cela fait il parti du jeux...
je suis contre l'idée de rejeter les portes greffes de mise à fruit rapide mais de durée de vie réduite,tout comme l'emploie de variétés alternantes,ou souffreteuse (sensible aux maladie)
mais à la fois,je suis plus pour dire que c'est plus permaculturelle de greffer sur arbre de semis qui commence à fleurir (vers 5 ans car il montre qu'il est prêt),voir de faire des variétés fruitières sur propres racines (en usant de marcottes aériennes par exemple car tout point de greffe freine la sève),et user de variétés résistantes (afin de ne pas être astreint à l'emploie de traitements curatif ou préventif),ou particulièrement pertinente pour leurs périodes de production (variétés rares,anciennes ou occulté (malus sieversii par exemple))
c'est plus pertinent de s'inscrite dans une démarche qui necessitera au final moins d'effort,mais certe plus de frustration pour l'esclave qui attends avec impatience la souveraineté alimentaire de ses activités.
un lieux de PMC,en zone potagère,c'est un endroit ou les herbacés sont facile à détruire,il n'y a pas à retourner le sol,ont peux même planter des légumes imposant des la végétation (véronique par exemple),ou il est facile d'y interagir (moins à se baisser,facile d'arroser,facile d'y entretenir une litière bienfaitrice pour la vie etc...)
donc pour moi,ce qui est Permaculturelle ou moins permacuturelle se vois par
- prendre en compte le degrés d'aisance que révèle une judicieuse organisation,(entretien,interactions,tentative de gain de temps dans les déplacements)
-prendre en compte le degrés de recherche du pratiquant (par ses techniques de culture,multiplication),la santé de ses plantes,ses tentatives de concentration des espèces (qui révèle sa conscience des types d'enracinement et exigeance de chaque espèces),de la diversité qu'il est parvenu à implanté,tant au niveau fruitier que légumier,du biotope choisir pour chaque essence...(même si la zone 0 permet de dire "c"est comme ca que j'aime que ce soit point finale")
-le gestion de ses récoltes:est la faune ou s'en nourrit ou y a t'il un projet de distribution pertinent envisagé pour faire survivre ses semblable (qui vont se prendre une grosse claque civilisationelle dans la face)
-quel degrés d'autonomie du lieux à tout les niveaux
et surement d'autre chose..observer l'implantation d'animaux pour leurs impacte sur les zones ouverte,couverte a litière permanente etc...
tirer partie des choses et créature pour agir le moins possible,augmenter l'effet de tempérence du milieux,et tiré partie des biotopes.
tout ceci mis en exergue permettrait même de mettre de notes pour avoir une vue d'ensemble sur le degré de pertinence des différents lieux qui se disent faire de la Permaculture.
(de mon point de vus)