par autrevie » 11 Mai 2010 11:28
De mon point de vus (en fonction du peu que j'ai vécu)
La permaculture de campagne nourrira difficilement les villes et je doute que les villes en transition parviennent à atteidre une autonomie nourricière partagé à toute sa population,contrairement aux villages.
tout le "problème" viens de l'abondance et la diversité des récoltes,planter à tout va,concentrer à fond,même avec la plus grande intelligence,ne permet pas de résoudre un problème qui arrive toujours:la gestion des récoltes.
ainsi ,par exemple les morus remplacent vite l'interêt des envahissantes framboises,ou argousier...si longues à récolter...
ainsi,le fruit frais,extrêmement abondant ne vaudra pas qu'ont le vende tellement le marché en propose à des prix faible (issu de monoculture,avec esclave récolteur),la logique semble être qu'un produit transformé,vaux bien plus chère et se vend toute l'année,et que "nos" permaculteurs y porteront donc toute leurs attention.
d'ailleurs frais les fruits originaux se vendent mal,alors que transformé il n'y aucun problème.
les fruits qui demandent le plus de transformation sont mis de cotés,tout doucement avec la demande toujours plus croissante de produit transformés,le la valoriseur/satrice va se spécialiser,simplifer,gagner tu temps,opté pour les jus/nectare,plus facile que les longues et complexes déshydratation et lactofermentation,confitures etc...
la diversités si pertinente perd tout son attrait tellement l'abondance est grande,et ce sera toujours les plus proches qui profiterons de la diversité.
Ainsi viens une autre manière de consommer,et donc de peupler l'espace.
plus il y a de gens à proximité,plus il y a un potentiel d'entraide,de valorisation,de spécialisation et au finale,c'est toute une micro "civilisation" qui peux potentiellement repartir d'un lieu ou les besoin vitaux,comme la nourriture,sont abondant.
la pertinence de se système peux ramper loin au fur et à mesure que les besoin vitaux sont proches abondant et facile à se procurer.
tout le monde y gagne temps et argent et santé,même le paysages,et la faune.
les lieux de permacultures doivent tendre à introduire le maximum de diversité fruitière et variétale pour un échelonnement des récoltes la plus longue possible,et permettre au "peuple " de bouturer et multiplier à tout va le meilleur de se qui pousse ou se qui se mange/se recherche.
le lieu mère sera toujours le lieux ou la diversité est la plus grande et la plus abondante,elle ne perdra pas sa fortune aisément au fur et à mesure que les locaux s'approprient la diversité nourricière sous forme de plants,de nombreuses solutions sont envisageable pour valoriser les choses les plus convoités,en permaculture ont ne peu manquer d'idées.
vient logiquement les cultures spécialisés,en fonction du biotope et tout espace à moins besoin d'être modifié pour introduire un plus grande diversité.