Une thèse INRA/AGROPARITECH sur la rentabilité de la ferme du Bec Hellouin se met en place: de nombreuxchercheurs sont intrigués par son niveau de production.
L’hypothèse est la suivante : 1000m2 cultivé calqué sur ce système permet de générer un emploi bien rémunéré. Cela ouvre des perspectives très intéressantes comme la création de microfermes périurbaines pour faciliter l’essor d’un maraîchage biologique proche du consommateur.
Cela permettrait de participer à la résolution de problèmes de société en nourrissant les villes et en créant des emplois.
Nicollas a écrit :J'ai eu des retours négatifs d'une personne en stage chez eux, mais plus au niveau relations de travail que le côté technique/agro.
le niveau de production est élevé et la main d'oeuvre est nombreuse... y-a-t'il un lien de cause à effet ?"
Much has been made by Mollison and others of the low labor requirements of permaculture.
This may be true compared to the labor required by traditional sustainable systems (such as those in China) operating near the limits to human carrying capacity. However, permaculture systems will never be highly productive on very low levels of labor input (such as that required to maintain a well-designed ornamental garden of local native plants).
Nicollas a écrit :Productif par rapport à quoi ? la superficie ?
Vladivostok1919 a écrit :Oui, bien sur.
En même temps, est-ce ce qui est recherché par la permaculture, en dehors de la zone 1 ?
mais sa durée de vie est de moitié inférieur à la notre
HS sur les peuples primitifs moderne, l'espérance de vie à 15 ans est de 55 ans, et un tiers atteignent cet âge. (= beaucoup de mortalité à la naissance)
Sans ètre cynique la forte mortalité est peut ètre necessaire à un certain équilibre de leurs populations et au milieu dans lequel ils vivent
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