par flyingdust » 22 Avr 2014 14:21
Visiblement les gars qui ont fait le compte rendu sont des pros ogms.
C'est le risque, quand on ne fait pas son auto critique, de se faire défoncer (et la c'est pas du propre) par le premier type avec un peu de connaissances scientifiques.
Le truc, c'est qu'ils sont très rare (inexistants?) les permaculteurs pros et de longue dates, à ne pas aussi s'ajouter la casquette formateur, écrivain, conférencier,... Normal, ce sont des marchés bien plus juteux.
Ils ont bien raison d'aller vers ce qui leur offre la vie la plus confortable, mais en attendant ce ne sont plus des exemples probants de gens qui vivent d'un système de pmc.
Et gérer la casquette pro qui obtient des résultats en plus de profs qui distille des formations, ça doit être un vrai casse tête: résultat, le tout est à moitié fait, comme le laisse penser l'article.
Pour moi, les concepts fumeux, on les fous dans le dernier tiroir du fond(protéger la planète, respecter la terre, s'inspirer de la nature,...)
Trois objectifs clés, bien plus clairs à poursuivre.
Enseigner des techniques qui permettent:
1) un système qui demande le moins d'interventions possibles, donc économie de labeur, et le maximum de biodiversité(=le plus résilient)
2) Un système qui économise au maximum les intrants, tels que l'eau, les énergies fossiles et/ou non,... pour produire un maximum (=efficience).
3) Un système qui produit les aliments les plus nutritifs possible, ce qui est facilement analysable en laboratoire: taux de matières sèches, richessse en minéraux,... (=pérennité de notre espèce)
Le reste, c'est du blabla de gourou new ageux à jeter aux oubliettes.