Re: Cowspiracy
Publié : 26 Mars 2015 12:23
Je ne pensais pas uniquement au fait qu'on tue une poule qui n'est plus en âge de pondre (mais garder une poule qui ne pond plus implique d'en prendre une autre qui pond et ainsi de suite, jusqu'à combien? C'est l'espace disponible qui donnera les limites).
Mais aussi au fait qu'il faut bien que quelqu'un ait des coqs pour qu'il y ait des poussins, et puis potentiellement des poules. Cette personne la va bien être obligé de jouer un rôle de régulateur à un moment ou un autre.
Concernant la réflexion à partir de chiffres de la FAO, je refuse de me complaire dans les techniques médiatiques de discrédits classiques, à savoir refuser en bloc le discours de quelqu'un, en utilisant la diabolisation pour s'épargner la nécessité d'argumenter, parce qu'il ferait partie de telle organisation, serait soumis à tels lobbys,...
Et enfin, l'idée d'une consommation uniquement de petits animaux en petites quantitées n'est pas si bête que ça.
Un boeuf ou un porc sont des animaux de très grande envergure, et quand on regarde l'alimentation des 4 grands singes les plus proches de nous, 3 consomment des insectes et des petits mammifères à hauteur de 10, 15 pourcent, mais jamais des bestioles de 5 fois leur poids!
Et plus ça grossit, plus ça devient compliqué à tuer, avec le risque de se louper et que ça dure de longues minutes (déjà simplement les oies ça se complique).
Quand j'étais petit, on allait en vacance chez ma grand mère, qui habitait un village à côté de Perpignan avec des fermiers, dont une qui devait avoir une bonne cinquantaine de poules et coqs qui gambadaient partout en liberté.
Je pense qu'elle devait en tuer peut être une ou deux par semaine pour le repas du dimanche.
Ce n'est pas quelque chose qui m'a traumatisé, ça se faisait au grand air, tu voulais regarder, tu regardais, sinon tu détournais le regard. J'avais plutôt tendance à m'éloigner, mais au moins je savais, je savais ce qu'impliquait la viande, je savais un peu comment ça se passait et la valeur de la chair.
C'est à ça que je pense quand je dis que les enfants devraient vivre un peu plus dans ce milieu, et donc aussi voir comment ça se passe, en tout cas pour des petits animaux de type volaille ou rongeurs, sans jamais imposer la vision, bien sur (comme ça s'est passé pour moi).
Mais aussi au fait qu'il faut bien que quelqu'un ait des coqs pour qu'il y ait des poussins, et puis potentiellement des poules. Cette personne la va bien être obligé de jouer un rôle de régulateur à un moment ou un autre.
Concernant la réflexion à partir de chiffres de la FAO, je refuse de me complaire dans les techniques médiatiques de discrédits classiques, à savoir refuser en bloc le discours de quelqu'un, en utilisant la diabolisation pour s'épargner la nécessité d'argumenter, parce qu'il ferait partie de telle organisation, serait soumis à tels lobbys,...
Et enfin, l'idée d'une consommation uniquement de petits animaux en petites quantitées n'est pas si bête que ça.
Un boeuf ou un porc sont des animaux de très grande envergure, et quand on regarde l'alimentation des 4 grands singes les plus proches de nous, 3 consomment des insectes et des petits mammifères à hauteur de 10, 15 pourcent, mais jamais des bestioles de 5 fois leur poids!
Et plus ça grossit, plus ça devient compliqué à tuer, avec le risque de se louper et que ça dure de longues minutes (déjà simplement les oies ça se complique).
Quand j'étais petit, on allait en vacance chez ma grand mère, qui habitait un village à côté de Perpignan avec des fermiers, dont une qui devait avoir une bonne cinquantaine de poules et coqs qui gambadaient partout en liberté.
Je pense qu'elle devait en tuer peut être une ou deux par semaine pour le repas du dimanche.
Ce n'est pas quelque chose qui m'a traumatisé, ça se faisait au grand air, tu voulais regarder, tu regardais, sinon tu détournais le regard. J'avais plutôt tendance à m'éloigner, mais au moins je savais, je savais ce qu'impliquait la viande, je savais un peu comment ça se passait et la valeur de la chair.
C'est à ça que je pense quand je dis que les enfants devraient vivre un peu plus dans ce milieu, et donc aussi voir comment ça se passe, en tout cas pour des petits animaux de type volaille ou rongeurs, sans jamais imposer la vision, bien sur (comme ça s'est passé pour moi).