Tiens mais c'est le copain thierry ! (
http://vivrecru.org)
ça me parle, j'ai franchi le pas y'a un mois, j'ai arrêté de manger la nourriture cuite et le blé.
Urbanexil a écrit :Même si toutes nos infos semblent démontrer que les choses ne vont pas dans le bon sens
perso, je dirai que les choses vont dans un sens ou dans le sens, mais pas qu'il y a un bon sens ou un mauvais.
Tout arrive pour de bonnes raisons, la nature emploie constamment ses forces à rétablir l'équilibre.
Je crois que le fait que les choses sont jugées comme "mauvaises", n'est en fait qu'un processus de purification, un processus long et douloureux, mais qui va vers l'éveil de toute la société humaine ou terrienne.
L'humanité réalise une bascule, un changement nécessaire de cap pour pouvoir évoluer. Et ce changement, tout comme l'adolescence, se fait dans la précipitation, la douleur, l'inconscience, etc. et ce qui en ressortira, ce sera une sagesse globale de toutes les conneries que l'humanité aura pu faire.
C'est aussi à l'image de la mort de la paysannerie traditionnelle, qui est petit à petit remplacer par une paysannerie NIMA (des personnes non issu du monde agricole), des citadins qui repeuplent les campagnes en créant des fermes pédagogiques.
J'y vois là aussi une bascule nécessaire, qui permet de passer d'une paysannerie traditionnelle d'illettré crasseux, peu soucieux de comprendre ce qu'est le CARE of people and earth, pour aller vers une paysannerie de personnes plus éveillées, car capables d'avoir remis en question un système entier (métro-boulot-dodo), et capable de s'être poser les bonnes questions (qu'est-ce qui va me rendre heureux ?) et qui a trouver la réponse dans le fait de retrouver le contact avec la nature et l'humanité (cultiver et nourrir ses comparses)
Donc finalement, que les choses aillent mal, n'est pas plus mal !
Les crises sont les opportunités de ré-enchanter le monde.