Les fourmis, la lumière est au bout du couloir.
Publié : 13 Fév 2010 13:37
il est interessant de noter à quel point nous avons tendance à prendre conscience de la juste valeurs des choses,lorsque celle ci n'est plus accessible.
nous baignons tellement dans la "chance" qu'ont ne la voie plus,sauf lorsque celle ci se désiste.
Ainsi,les villes,et tout le système d'assistances qui en découles,forment une "chance",dont nous jouissons mais qui constitue une norme tièdement reconnu.
Ce n'est que si se système est remis en cause profondément,se qui devrait arriver un jour ou l'autre,que la population cherchera à retrouver sa "chance" "naturellement.
autrement dit,ce ne sera que lorsqu'il y aura pénurie de bouteilles d'eaux,que l'humain cherchera à se procurer de l'eau par un autre moyen,et c'est également la,qu'il sera forcé de conscience que sont environnement est pollué,à cause des toilettes à eau, parfaitement adaptées à la vie hors sol (haute densité de population) ainsi "sa chance" sont "confort" qui lui permettais d'être un Autiste assisté menant une vie d'esclave, parfaitement adapté à l'environnement artificiel et aux activités qui constitue son monde en "société",prend une autre réalité,échelle...
la base du "problème" semble être qu'il n'a pas réussit à dévelloper ses activités en accords avec son environnement,et qu'au final,tout est pratiquement à refaire.
ne serait il pas "logique" (comme la nature nous le montre) que toute denrée généré soit totalement recyclable.
Une forme d'écologie est en train de naitre (éthique bio etc...) mais sa pertinence est ralentit du fait de sont importation lointaines ou ses dépendances...
ainsi la bonne salade bio éthique pousse dans un "substrat" importé,lui meme recouvert d'un plastique,(qui représente une litière organique)
cela reste mieux ainsi,que le "conventionnel qui désherbe avec des produits chimiques tres toxique et polluant" qui nourrit la plante de minéreaux synthétiques,qui pollulent nappes phréatiques,cours d'eau,et au finale la mer (monoculture d'algues vertes) qui est une conséquence bien évidament créatrice d'emploies (donc qui reste éthique pour le système esclavagiste)
les plages doivent être propres pour le touriste,
Bien des métiers (la majorités) sont donc inventé pour corriger le déséquilibre.
ainsi nos courtes durées de vies ne permettent pas de prendre consciences que le déséquilibre "rééquilibré" "faussement solutionné" artificielement par un esclave,va débordera grassement pour atteindre une phase toujours plus critique.
Plus nous croyons aux fausses solutions plus nous perdons la capacité de recul pour prendre le temps d'Observer la conséquence de nos action collective( sur le long terme..)
nos vies de consommateurs incite à la consommation "jetable" "court terme" et une gestion des déchets toujours plus important,d'assistances polluantes toujours plus vitales à notre course vers le hors sol.
il est donc logique de voir apparaitre l'humain dans un décor toujours plus pollué au fur et à mesure qu'il garde foie dans le système bancale qu'il contribue à faire tourner.
au fur et à mesure que te temps passe,l'environnement se dégrade,se fragilise,perd la diveristé necessaire à son équilibre.
les conditions d'équilibres naturelles seront de plus en plus faussement remplacé au nom de notre "confort" et "survie" dans le milieu hors sol qui semble être la métastase (ville) qui conviens aux style de vie que nous recherchons.
même si notre coeur se gonfle face à la beauté de la nature,ou des activités humaines qui s'intègre parfaitement dedans.
il se gonfle aussi pour la facilité (le pret à porté,le pret à consommer,le pré-construit,le pré-vécu...etc...)
nous avons donc des besoins pour vivre des vies faciles,afin de disposé de temps libre,de se débarassé des monotones "corvés" qui ne sont autre que le dégout naturelle (bien fondé) de s'amoindrir à faire une choses répétitive.
nous ne sommes pas des machines! (le corps peux être vus de la sorte,mais nous ne sommes que de passage en lui.)
Et pourtant plus l'humain est dépendant de l'argent,plus il doit "travailler" pour un travaille que la majorité trouve désagréable.
ainsi il se bat dans l'individualité de sa personne pour décrocher les meilleurs places,et ceci des l'enfance,afin de se hisser dans les étages agréable,facile, fruit de la souffrances ou pollution générés par d'autres.
la société esclavagiste,offre l'illusion que nous cheminons vers une vie plus facile,confortable.."meilleur",et cela vaut la peine de se battre pour cela,vous y avez votre place.
fermer les yeux et foncer l'espoir au cœur d'obtenir la chance de disposer de moment tjs plus nombreux de liberté,facilité,d'assistances,protection,confort,autonomie.
pourtant si l'ont observe bien,tout peux être fait différemment,en accord avec les Lois qui régissent l'équilibre de la vie.
constater que la majorité fonce dans le mur ne doit pas éteindre l'espoir Nous pouvons contribuer à se que cela change,pour nous même et les autres,en commençant par obtenir un peu de terre pour ses propres besoins vitaux,puis ceux des autres...l'abondance est générer éternellement si elle entre dans les règles.
Normal que chercher à générer se qui est propre à sa survie puisse faire penser à un retour à l'age de pierre.
ces points de vus optus n'embrassent pas le potentiel de cette révolution en cours représente.
le droit chemin est celui de la richesse qu'apporte le travaille "reconnu" par notre "système".
"pourquoi planter un pommier,si vous disposez d'assez de place pour en faire une monoculture"?.
"gain de place" "gain de temps" une seul activité peux vous faire "vivre" vous et les autres,dans le système et tout les avantanges qu'il apporte alors pourquoi se compliquer la vie...
suffit d'acheter des pesticides etc... et le tour est joué!
ceux et celles qui se lancent dans la permaculture souffrent tres souvent de l'incompréhension de leurs proches.
je passe pour un feignant,dépendent,qui ne veux pas travailler,sauf pour lui même,une sorte de hippi,d'indien,inspiré d'un mouvement pas cohérent.
ont me demande "mais que fait tu?" ... je suis parfois obliger de mentir pour m'approcher d'une réalité compréhensible...(je fais donc du bio,et une pépinière)
comment faire comprendre la profondeurs de l'ensemble à une personne pas prêt à l'entendre....(sujet à polémique)
"limiter mes dépenses,mettre en place se qui est essentiel à ma propre survie,pour finalement être couronné d'une abondante production,et pouvoir montrer partager et enseigner des pratiques autonomisante pour Autrui".
arreter de gagner de l'argent pour vivre comme un esclave.
travailler pour mettre en place un système le plus stable pratique écologique et autonome possible,afin générer du temps libre pour gagner de l'argent en transformant les récoltes,en multipliant la diversité nourricière (plantes,élevages),ainsi nous contribuerons à l'autonomie d'autrui en l'autonomisant par notre propre exemple,et par la tres grande diversité de production alimentaire.
rassurons nous mutuellement,aménager un lieu de permaculture est une entreprise de long allène surtout sous les regards moqueurs des "bonnes gens".
Nous sortirons vainqueur car la lente progression s'inscrit dans les règles de la vie.
la vie est belle sa profondeur mérite qu'il y ai un demain pour perpétuer son exploration.
nous baignons tellement dans la "chance" qu'ont ne la voie plus,sauf lorsque celle ci se désiste.
Ainsi,les villes,et tout le système d'assistances qui en découles,forment une "chance",dont nous jouissons mais qui constitue une norme tièdement reconnu.
Ce n'est que si se système est remis en cause profondément,se qui devrait arriver un jour ou l'autre,que la population cherchera à retrouver sa "chance" "naturellement.
autrement dit,ce ne sera que lorsqu'il y aura pénurie de bouteilles d'eaux,que l'humain cherchera à se procurer de l'eau par un autre moyen,et c'est également la,qu'il sera forcé de conscience que sont environnement est pollué,à cause des toilettes à eau, parfaitement adaptées à la vie hors sol (haute densité de population) ainsi "sa chance" sont "confort" qui lui permettais d'être un Autiste assisté menant une vie d'esclave, parfaitement adapté à l'environnement artificiel et aux activités qui constitue son monde en "société",prend une autre réalité,échelle...
la base du "problème" semble être qu'il n'a pas réussit à dévelloper ses activités en accords avec son environnement,et qu'au final,tout est pratiquement à refaire.
ne serait il pas "logique" (comme la nature nous le montre) que toute denrée généré soit totalement recyclable.
Une forme d'écologie est en train de naitre (éthique bio etc...) mais sa pertinence est ralentit du fait de sont importation lointaines ou ses dépendances...
ainsi la bonne salade bio éthique pousse dans un "substrat" importé,lui meme recouvert d'un plastique,(qui représente une litière organique)
cela reste mieux ainsi,que le "conventionnel qui désherbe avec des produits chimiques tres toxique et polluant" qui nourrit la plante de minéreaux synthétiques,qui pollulent nappes phréatiques,cours d'eau,et au finale la mer (monoculture d'algues vertes) qui est une conséquence bien évidament créatrice d'emploies (donc qui reste éthique pour le système esclavagiste)
les plages doivent être propres pour le touriste,
Bien des métiers (la majorités) sont donc inventé pour corriger le déséquilibre.
ainsi nos courtes durées de vies ne permettent pas de prendre consciences que le déséquilibre "rééquilibré" "faussement solutionné" artificielement par un esclave,va débordera grassement pour atteindre une phase toujours plus critique.
Plus nous croyons aux fausses solutions plus nous perdons la capacité de recul pour prendre le temps d'Observer la conséquence de nos action collective( sur le long terme..)
nos vies de consommateurs incite à la consommation "jetable" "court terme" et une gestion des déchets toujours plus important,d'assistances polluantes toujours plus vitales à notre course vers le hors sol.
il est donc logique de voir apparaitre l'humain dans un décor toujours plus pollué au fur et à mesure qu'il garde foie dans le système bancale qu'il contribue à faire tourner.
au fur et à mesure que te temps passe,l'environnement se dégrade,se fragilise,perd la diveristé necessaire à son équilibre.
les conditions d'équilibres naturelles seront de plus en plus faussement remplacé au nom de notre "confort" et "survie" dans le milieu hors sol qui semble être la métastase (ville) qui conviens aux style de vie que nous recherchons.
même si notre coeur se gonfle face à la beauté de la nature,ou des activités humaines qui s'intègre parfaitement dedans.
il se gonfle aussi pour la facilité (le pret à porté,le pret à consommer,le pré-construit,le pré-vécu...etc...)
nous avons donc des besoins pour vivre des vies faciles,afin de disposé de temps libre,de se débarassé des monotones "corvés" qui ne sont autre que le dégout naturelle (bien fondé) de s'amoindrir à faire une choses répétitive.
nous ne sommes pas des machines! (le corps peux être vus de la sorte,mais nous ne sommes que de passage en lui.)
Et pourtant plus l'humain est dépendant de l'argent,plus il doit "travailler" pour un travaille que la majorité trouve désagréable.
ainsi il se bat dans l'individualité de sa personne pour décrocher les meilleurs places,et ceci des l'enfance,afin de se hisser dans les étages agréable,facile, fruit de la souffrances ou pollution générés par d'autres.
la société esclavagiste,offre l'illusion que nous cheminons vers une vie plus facile,confortable.."meilleur",et cela vaut la peine de se battre pour cela,vous y avez votre place.
fermer les yeux et foncer l'espoir au cœur d'obtenir la chance de disposer de moment tjs plus nombreux de liberté,facilité,d'assistances,protection,confort,autonomie.
pourtant si l'ont observe bien,tout peux être fait différemment,en accord avec les Lois qui régissent l'équilibre de la vie.
constater que la majorité fonce dans le mur ne doit pas éteindre l'espoir Nous pouvons contribuer à se que cela change,pour nous même et les autres,en commençant par obtenir un peu de terre pour ses propres besoins vitaux,puis ceux des autres...l'abondance est générer éternellement si elle entre dans les règles.
Normal que chercher à générer se qui est propre à sa survie puisse faire penser à un retour à l'age de pierre.
ces points de vus optus n'embrassent pas le potentiel de cette révolution en cours représente.
le droit chemin est celui de la richesse qu'apporte le travaille "reconnu" par notre "système".
"pourquoi planter un pommier,si vous disposez d'assez de place pour en faire une monoculture"?.
"gain de place" "gain de temps" une seul activité peux vous faire "vivre" vous et les autres,dans le système et tout les avantanges qu'il apporte alors pourquoi se compliquer la vie...
suffit d'acheter des pesticides etc... et le tour est joué!
ceux et celles qui se lancent dans la permaculture souffrent tres souvent de l'incompréhension de leurs proches.
je passe pour un feignant,dépendent,qui ne veux pas travailler,sauf pour lui même,une sorte de hippi,d'indien,inspiré d'un mouvement pas cohérent.
ont me demande "mais que fait tu?" ... je suis parfois obliger de mentir pour m'approcher d'une réalité compréhensible...(je fais donc du bio,et une pépinière)
comment faire comprendre la profondeurs de l'ensemble à une personne pas prêt à l'entendre....(sujet à polémique)
"limiter mes dépenses,mettre en place se qui est essentiel à ma propre survie,pour finalement être couronné d'une abondante production,et pouvoir montrer partager et enseigner des pratiques autonomisante pour Autrui".
arreter de gagner de l'argent pour vivre comme un esclave.
travailler pour mettre en place un système le plus stable pratique écologique et autonome possible,afin générer du temps libre pour gagner de l'argent en transformant les récoltes,en multipliant la diversité nourricière (plantes,élevages),ainsi nous contribuerons à l'autonomie d'autrui en l'autonomisant par notre propre exemple,et par la tres grande diversité de production alimentaire.
rassurons nous mutuellement,aménager un lieu de permaculture est une entreprise de long allène surtout sous les regards moqueurs des "bonnes gens".
Nous sortirons vainqueur car la lente progression s'inscrit dans les règles de la vie.
la vie est belle sa profondeur mérite qu'il y ai un demain pour perpétuer son exploration.