Parler "sols" sans tabou ?
Bonjour à tous,
j'aimerais comprendre le plus finement possible les avantages et inconvénients du non travail du sol en maraîchage... Ce n'est pas une blague et je ne suis pas un troll.
Vous me corrigerez si je dis des bêtises...
- Le non travail permet de favoriser une vie foisonnante dans les quelques centimètres (ou dizaines) de la couche superficielle réellement riche.
- Il s'accompagne généralement d'une pression accrue de végétaux non désirés qu'il faut désherber...
- A la main --> tâche longue et fastidieuse
- A l'aide de bâches d'ensilage --> ça semble pas trop fatigant...
- Par un couvert de mulch, de paille ou de BRF --> Ce qui a l'avantage de nourrir les petites bestioles auxilliaires...
- Dans le cas de mise en place de couvert (par MO ou bâche), il est possible de semer des engrais verts (phacélie, trèfles, ...), qui seront assimilés par les légumes cultivés suivant le schéma: engrais vert couché ou broyé --> décomposition par les "bestiolettes" --> NP ou K assimilables par les plantes
- Dans le cas précédent (couvert par bâche ou MO), puisque les éléments fertilisants sont restitués au sol par les engrais verts, quelle serait la place des "engrais d'origine animale" dans le schéma global d'une ferme ?
- le non travail permet également de donner au sol une texture plus à même de drainer les eaux de pluie ainsi que de diminuer la "battance".
- Un des autres avantage tient dans la possibilité de démarrer une nouvelle culture avant que la précédente ne soit terminée... Je suis avide d'exemples
Bref, le non travail mécanique du sol doit permettre de se passer de désherbants (?) et d'intrans (?)
Merci par avance pour les corrections, réponses, dévellopements que vous pourrez emmener à mon raisonnement...
Amicalement.
j'aimerais comprendre le plus finement possible les avantages et inconvénients du non travail du sol en maraîchage... Ce n'est pas une blague et je ne suis pas un troll.
Vous me corrigerez si je dis des bêtises...
- Le non travail permet de favoriser une vie foisonnante dans les quelques centimètres (ou dizaines) de la couche superficielle réellement riche.
- Il s'accompagne généralement d'une pression accrue de végétaux non désirés qu'il faut désherber...
- A la main --> tâche longue et fastidieuse
- A l'aide de bâches d'ensilage --> ça semble pas trop fatigant...
- Par un couvert de mulch, de paille ou de BRF --> Ce qui a l'avantage de nourrir les petites bestioles auxilliaires...
- Dans le cas de mise en place de couvert (par MO ou bâche), il est possible de semer des engrais verts (phacélie, trèfles, ...), qui seront assimilés par les légumes cultivés suivant le schéma: engrais vert couché ou broyé --> décomposition par les "bestiolettes" --> NP ou K assimilables par les plantes
- Dans le cas précédent (couvert par bâche ou MO), puisque les éléments fertilisants sont restitués au sol par les engrais verts, quelle serait la place des "engrais d'origine animale" dans le schéma global d'une ferme ?
- le non travail permet également de donner au sol une texture plus à même de drainer les eaux de pluie ainsi que de diminuer la "battance".
- Un des autres avantage tient dans la possibilité de démarrer une nouvelle culture avant que la précédente ne soit terminée... Je suis avide d'exemples
Bref, le non travail mécanique du sol doit permettre de se passer de désherbants (?) et d'intrans (?)
Merci par avance pour les corrections, réponses, dévellopements que vous pourrez emmener à mon raisonnement...
Amicalement.


. S'ils m'agressent je doit pouvoir être capable de les "calmer" à main nues... Donc volailles, lapins, disons jusqu'à mouton ça devrait aller
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