j'ai lu plusieurs sites qui expliquaient qu'il fallait des légumes pour se nourrir mais j'ai aussi appris qu'il ne fallait pas toujours croire ce qui est sur internet donc si tu connais une autre façon de se nourrir, je suis trés intéressé.autrevie3 a écrit :perso je n'ai plus la motivation même d'en parler,j'ai une dent contre les légumes,ca ma frustré,faut quelqu'un pour les cuisiner,c'est une terrible réalité.
autrevie3 a écrit :fruit céréales légumineuse spiruline,élevage d'insectes...certains légumes vivaces méritent tout l'interêt des feignant(e)s
mathieu a écrit :J'ai déjà lu plusieurs fois que le résultat idéal de la production de légumes après quelques années serait un jardin forestier ou quelque chose s'approchant.
Je me demande si quelqu'un a essayé de faire cela dans l'autre sens : partir d'une forêt bien sauvage et cultiver des légumes au milieu des arbres déjà en place ?
http://roselinesoudan.pagesperso-orange.fr/page12.html a écrit :Les buttes de Rosne et du Caillouet
Ce sont des buttes résiduelles de résistance, constituées par des couches sédimentaires tertiaires : sable à leur pied présentant parfois un niveau grésifié, signalé par des affleurements de blocs comme à Cresnes. Un ensemble de couches imperméables de marne et d'argile forme l'assise des buttes et est souligné par de nombreuses sources qui alimentent la Troësne, le Sausseron, la Viosne. Une épaisse couche de sable, qui peut atteindre 50 mètres, constitue la majeure partie des versants. Des niveaux gréseux y sont révélés par de petits entablements, ou des blocs isolés. Une couche ou sont mêlés argile blocs et bancs de meulière affleure au niveau de la surface sommitale qui est plane.
Le relief des buttes est souligné dans le paysage par leur couverture forestière qui occupe une superficie de plus de 1400 hectares. La diversité du substrat géologique, des formations superficielles, les indices d'exposition, y multiplient les facits forestiers.
La surface sommitale meuliérisée porte, sur la butte de Rosne, une chênaie claire à bouleaux, à sous-bois où la fougère aigle est abondante, tandis que sur la butte du Cauillouet, le chêne est mêlé aux charmes et aux châtaigners, dans le sous-bois, les ronces font concurrence aux fougères.
Les versants sableux à sols acides sont le domaine de la chênaie sessiliflore à hêtres et châtaigners. L'importance des colluvions est souligné par la présence, plus ou moins fournie de fougère-aigle.
Les terrains argilo-marneux du pied des buttes offrent des boisements plus diversifiés : chênaies à fresnes, à coudriers et à aubépiniers.
Les formations sablo-limoneuses à la base des buttes portent de belles chênaies de charmes qui présentent au printemps des sous-bois très fleuris.
Les sources des pentes ont fixées autrefois des tourbières à sphaignes, aujourd'hui boisées en aulnes et en bouleaux pubescents, sous lesquels croissent des saules arbustifs. Certaines sources offrent encore une flore remarquable avec notamment la fougère paludéenne osmonda régalis et le carex helodes.
mathieu a écrit :J'ai déjà lu plusieurs fois que le résultat idéal de la production de légumes après quelques années...
moilamain a écrit :Et si on veut faire avec la nature des choses et notamment celle de l'être humain, il faut se repencher sur son alimentation... et bouffer du blé et des légumes... c'est pas vraiment un régime adapté sous nos contrées... baies et glands s'en rapprochent un peu plus....
le but du jeu étant que je prenne moins de temps à chercher ma nourriture (et donc la reconnaitre) que le temps que j'aurais mis à cultiver la même quantitée avec des légumes habituels du potager
autrevie3 a écrit :c'est ca mangez des glands et des frondes de fougères,l'obier des arbres,racine de bardanes,bon appétit.
geispe a écrit :je crains que l'on ne se soit mis à cultiver le casse-croûte parce que c'est bien plus productif et rationnel, çà demande aussi bien moins de surfaces, que de devoir cueillir toute l'année (quoi et en sacrées quantités... ? ) pour nourrir une famille...
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