Corpse Grinder 666 a écrit :cela fait penser au principe du germoir
çà vient de là ... mes 90% d'inspiration pour (même pas) 10% de transpiration
Corpse Grinder 666 a écrit :cela fait penser au principe du germoir
autrevie3 a écrit :normalement ces essences fruitières on besoin d'une stratification pour germer
Aimelle a écrit :Besoin d'une "stratification" ? Autrevie, tu veux dire une période de froid (vernalisation), peut-être ?
GoldenBoy a écrit :Je compte acheter des graines de pleins d'arbres / arbustes / fruitiers / pionniers ... et les semer à l'automne.
moilamain a écrit :GoldenBoy a écrit :Je compte acheter des graines de pleins d'arbres / arbustes / fruitiers / pionniers ... et les semer à l'automne.
Dans quels buts ?
moilamain a écrit :tu veux quoi, quel rendement, quel bénéfice... quelle optique ?
moilamain a écrit :graines de pleins d'arbres = plein de techniques, de conditions, de réussites différentes, plein de paramètres différents.
Ce qui est important c'est de savoir ce que tu veux avoir par le semis... si c'est un meilleur enracinement, un meilleur prix, moins de travail de plantation, si c'est pour "voir", pour découvrir, si c'est pour avoir des nouvelles variétés surprises...
On pense généralement qu’il n’y a rien de plus magnifique que l’intelligence humaine, que les êtres humains sont des créatures d’une valeur particulière et que leurs créations et réalisations telles qu’elles sont réfléchies par la culture et l’histoire en sont de merveilleux témoignages. Telles est du moins la croyance générale. Puisque ma pensée la refusait, j’étais incapable de communiquer mes vues à quiconque. En fin de compte je décidai de donner une forme à mes pensées, de les mettre en pratique, et ainsi de déterminer si mon discernement voyait juste ou faux. Passer ma vie dans l’agriculture, à faire pousser du riz et des céréales d’hiver [devient pour moi- de créer une forêt comestible avec peu de moyens et reproductible partout], ce fut le parti que je pris »
GoldenBoy a écrit :Le but serait d'enrichir le sol à terme
GoldenBoy a écrit :Par le semis j'aimerais une meilleure résistance à la sécheresse
GoldenBoy a écrit :ne pas avoir besoin (ou beaucoup moins) de mulcher / tailler / traiter / entretenir
GoldenBoy a écrit :Quelqu'un pratique-t-il le semis DIRECT, EN PLACE avec succès ?
moilamain a écrit :J'ai pas encore fait suffisamment d'observation pour voir les différences entre semer dans les herbes (et le baliveau grandit dans les herbes) et semer dans le mulch (et le baliveau grandit dans un espace sans herbe). Dans le premier cas, la présence des herbes encourage peut-être le jeune arbre à aller chercher très profond avec sa racine pivot, il évite ainsi la concurrence au niveau des premiers horizons du sol), dans le second cas, l'humidité reste sous le mulch, mais les racines de l'arbre aussi... enfin je suis sûr de rien, j'irai déterrer quelques baliveaux cet été pour voir.
moilamain a écrit :merci pour la réponse. C'est très intéressant.
"Jardin-forêt" implique "contrôle de l'être humain".
moilamain a écrit :GoldenBoy a écrit :Le but serait d'enrichir le sol à terme
les arbres ont cette capacité. En planter plus au début, dont des espèces pionnières qui poussent vite, puis supprimer petit à petit ceux qui deviennent gênant (lumière), ou les rabattre, ou les tétariser... (voir les cerner pour les tuer sur place et s'en servir comme support de grimpante).
De toute manière, l'enrichissement du sol se fait si :
- y'a une culture d'arbres
- y'a un juste retour des nutriments exportés (donc pas d'exportations inutiles,
- si y'a de quoi capter l'azote atmosphérique (légumineuses ou autre plantes fixatrices d'azote)
- et : pas de climat tropical humide (les pluies lessivent les nutriments), pas de travail du sol boulversif (érosion, minéralisation accélérée des nutriments et donc possibilité de lixiviation...)
Stocker du bois dans le sol à la fukuoka, holzer ou forrer, ça permet de gagner quelques années et d'aider un peu plus les plantes dans leur jeune âge.
Mais c'est pas indispensable. Mais ça contribue grandement à la fertilité quand même, ça fait gagner quelques cinquantaines d'années de maturité au sol à mon avis. Mais ce n'est pas la condition sine qua none pour avoir des fruits.
moilamain a écrit :Sur des terrains en pente, si on a le temps et du bois, et qu'on a pas envie de se faire chier à l'enterrer, on peut tout simplement poser ce bois sur le sol, en formant des lignes qui suivent les courbes de niveau. Avec le temps, les matières organiques vont s'accumuler derrière et cela va créer des mini terrasses très fertiles.
moilamain a écrit :GoldenBoy a écrit :Par le semis j'aimerais une meilleure résistance à la sécheresse
Le semis est effectivement une bonne stratégie s'il est effectué en place, la racine pivot est ainsi préservée, l'accès à l'eau en profondeur sera plus sûr.GoldenBoy a écrit :ne pas avoir besoin (ou beaucoup moins) de mulcher / tailler / traiter / entretenir
la taille est un choix. Le fait qu'un arbre soit semer, planter ou greffer, ne la conditionne pas vraiment.
Mais une fois qu'on taille, c'est fort possible qu'on ait besoin de refaire l'opération...
Pour des arbres entièrement non taillés, il faut leur laisser leur forme libre. Pour certaine espèce cela va compliquer la récolte, si elle se fait directement sur l'arbre.
La taille peut être raisonnable (je préfère ce terme à "raisonnée"), on peut envisager une forme et un type de production ne nécessitant pas trop de taille.
Pour le mulch, tout dépend du sol et de sa capacité à retenir l'eau.
J'ai pas encore fait suffisamment d'observation pour voir les différences entre semer dans les herbes (et le baliveau grandit dans les herbes) et semer dans le mulch (et le baliveau grandit dans un espace sans herbe). Dans le premier cas, la présence des herbes encourage peut-être le jeune arbre à aller chercher très profond avec sa racine pivot, il évite ainsi la concurrence au niveau des premiers horizons du sol), dans le second cas, l'humidité reste sous le mulch, mais les racines de l'arbre aussi... enfin je suis sûr de rien, j'irai déterrer quelques baliveaux cet été pour voir.
Pour les traitements, si c'est contre les ravageurs, tout dépend de ton seuil de tolérance vis-à-vis des ravageurs.
Si c'est pour des maladies dues au climat, au sol, aux mauvaises vibrations du lieu ou du temps... à toit de voir aussi.
Traiter est aussi un choix.
Entretenir. C'est indispensable pour obtenir un rendement digne de ce nom. Faudra au moins faucher l'herbe sous les arbres pour pouvoir accéder facilement, ou pour éviter que les ronces s'installent. Certaines plantes auront besoin de soin, car plus fragile, plus petite.
GoldenBoy a écrit :je préfère réfléchir 350 jours et travailler/contrôler 15 jours par an que l'inverse
...
Bien entendu, je peux paraitre naïf en pensant que cela est réalisable, mais je fais /ferais le travail nécessaire le cas étant
GoldenBoy a écrit :Apparemment, le mieux serait un broyât de bois sec (qui sera consumé par les champignons, et non les bactéries) pour enrichir le sol d'ici (selon M. Escoffier)
(un semis dans un tube en carton d'un rouleau de pq rempli de terreau, qu'on enterre ensuite, avec le carton, à sa place définitive)
autrevie3 a écrit :les noix se font hiverner ds du sable sec (3% d'humidité,si plus ca pourrit
:
autrevie3 a écrit :les citronnier,faut laisser le fruit tel quel et sortir les pépins du fruit pourrit au printemps avant le semis,bien fidel
autrevie3 a écrit : asiminier chaleur constante (28°c) et pot spécieux ultra haut avec terre parfaite (sable terre terreau/tourbe)
autrevie3 a écrit : xanthocera sorbiolia...terre sableuse chaleur,un peu d'humiditée...
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