alix a écrit :Pour ce qui est du spanc il y a une obligation de résultat mais pas de moyen
Ça c'est la théorie. Vous avez vu la procédure administratif à respecter ? Avez vous un exemple précis de réalisation validé par un spanc à partir de baignoire de récupération ?
Un retour d'expérience sur une phytoépuration individuelle. Et on est ni dans l'auto-concepotion, ni dans la récupération de baignoire. Plein de paperasse et un contrôle annuel supplémentaire de 70 € par ans.
"Ce fut long et stressant étant donné que les services administratifs nous mettaient la pression. Mais nous voulions vraiment une phytoépuration et Jérôme Spieth nous a bien épaulé dans les démarches administratives."
http://www.immobilierecologique.fr/post ... ew-exemplePour ce qui est des plantes censé épurer l'eau c'est partiellement faux. Dans un système de phyto-épuration ce ne sont pas les plantes qui épurent l'eau mais les bactéries. Les bactéries ont besoins des racines des plantes pour se fixer. En effet, sinon en hivers il n'y aurait pas d'épuration puisque les plantes sont en dormances.
Donc si le système sèche, les bactéries risquent de mourir. Mais à la remise en eau elles ont encore les racines des plantes mortes comme support. Je pense donc que le système redevient opérationnel avant que les plantes retrouvent leur vigueur. Concrètement ça ne change rien à ce qu'à dit alix, sauf qu'il faut faire attention à la remise en eau à éventuelement couper les plantes mortes, mais pas les arracher.
C'est un projet intéressant que j'envisage chez moi. Mais moi, je suis en assainissement collectif et j'envisage de faire ça en toute illégalité. Si on me reproche quelque chose, j'aurais toujours la possibilité de rebrancher sur l'assainissement collectif.