par khumlee » 04 Mars 2012 17:06
Cela fait 5 ans que je fais une partie de mes semences, et l'un des principe de base est de pratiquer une selection minimum suivant les objectifs de chacun, concervation variétale, création, amélioration etc...
Sans cette selection les variétés quellles soit "fixés" ou pas partent dans tous les sens, mais de toute façon une variété de population ou très pur a un potentiel de production et d'adpatation donné.
Les principes de base de selection des plantes porte de graine, sont d'utiliser les planes les plus représentative a tous les stades de developpement, de la graine a la graine. Je prend donc en compte la part de la population la plus représentative qui reprente les 60% de repartition sur une courbe de Gausse et cela a tous les stades de la croissance jusqu'au choix des portes graines, mais ce n'est pas une selection physique sur l'homogéneité des plantes, mais sur les objectifs que je me suis fixés suivant ce que je recherche chez tel ou tel legume, adaptabilité a mes conditions de culture, resistance a la secheresse, productivité, resistance aux maladies, aux ravageurs, qualité gustative, aptitude a la concervation etc...
En ce qui concerne les maïs, on entend de tous, il faut 200, 400, 600 pieds, pourquoi et sur quoi cela se base t"il ?
la faible rusticité de certaine variété de population ?, qui sont si homogène que leur potentiel est limité, ou sur des caractéristiques génétique proprent aux plantes allogames ? ou ...?
Je vous dirais dans quelques années si mes maïs degénères, car je n'en cultive pas autant de pieds que cela pour le moment. Quant au croisement un chose assez facile a réaliser c'est de bien connaitre ses mais et de décaler la floraison par des semis décalés.
Les courges c'est très simple manuelement, mais il faut bloquer l'ouverture des fleurs en fin de journée et les poliniser manuelement avant 8h, puis bien les marquer et les identifier.
Ma plus grosse problématique aujoud'hui c'est de concerver les racines biannuelles sans quelles s'abiment et eviter la contamination des carottes sans avoir a les voiler, car la carotte sauvage est souvant présente.